samedi 13 février 2016

Autre EXTRAIT de mon Livre : "UNE VIE RÊVÉE...la différence qui fait la différence"-Il sera publié en 2017

CHAPITRE  I : Pourquoi écrire ce livre ?

Johannesburg, 18 juillet 2009, 18h20min. C’est l’hiver sud-africain, un vent froid souffle à l’extérieur.
Je suis dans mon appartement de Jukskei Park, dans ma chambre, allongée sur mon lit, en train d’écrire le premier chapitre de ce livre.
Je voudrais partager avec vous le parcours de ma vie. Comme avec une amie ou un ami, j’aimerais vous raconter qui je suis, et ce qui m’a amené aujourd’hui à vous livrer ce cocktail de pensées et d’enseignements.
J’avais passé toute la journée de ce 18 Juillet 2009 en prière, demandant à Dieu une réponse. Deux jours auparavant, une multitude de questions torturait mon esprit : « Et si je devais subitement quitter ce monde, si je devais partir pour ne plus revenir, quelles sont les traces que je laisserais en ce bas monde ? En quoi aurais-je marqué l’histoire de ma génération ? De ma nation ? Du monde ? Quelles sont les vies que j’aurais touchées ? Combien d’âmes touchées, se tournant vers le Sauveur ? Combien de cœurs offensés ? Combien de rêves brisés ? Combien ? Comment ? Qui ? Quoi ? »
Dieu me répondit de façon pratique. Il utilisa mon colocataire Mark. C’était un Sud-Africain, Blanc, la trentaine, biologiste de formation, essayant de se démener pour rebondir après une séparation difficile avec sa partenaire de longue date.
Je venais à peine de signer mon nouveau contrat de bail pour ce bel appartement de deux chambres dans un complexe résidentiel bien situé. Il y avait un salon, une cuisine bien équipée, un balcon avec barbecue, une vue magnifique sur la petite rivière qui longe le parc voisin, sans oublier le court de tennis et le magnifique espace de détente avec piscine dans l’enceinte même du complexe. J’étais entourée de voisins aisés, j’avais un parking à ma disposition, mais c’était un peu trop pour ma situation financière. D’où le recours à la colocation. Je fis louer une chambre à Dirk, le premier colocataire, ensuite c’est son ami Mark qui prit la place.
Ce matin-là, alors que Mark faisait son café dans la cuisine, je sortis pour me faire un sandwich. Après une brève conversation, il me tendit un grand cahier cartonné vierge, qu’il avait trouvé dans ses affaires qu’il venait de déballer. Se souvenant que j’étais journaliste, il me dit en blaguant que cela pourrait m’être utile. Je pris le cahier en souriant pour ne pas le vexer, mais sincèrement je ne savais pas quoi en faire ; je le balançai nonchalamment sur mon lit. De nombreuses heures s’écoulèrent avant que je ne comprenne que c’est dans ce même cahier, offert innocemment par mon colocataire, que j’écrirais les premières lignes de mon 1er livre, inaugurant une nouvelle ère de mon existence : la réponse de l’Éternel.
Je reviens au but proprement dit, au pourquoi de ce livre : si je te raconte les épreuves de ma vie, si je partage avec toi les expériences que j’ai vécues, et que tu arrives au dernier chapitre sans que ta vie n’ait reçu une révélation, une touche profonde de restauration, un changement surprenant, ou encore une illumination de l’âme à la gloire de celui qui nous a créés, alors j’aurais écrit ces lignes pour rien.
Dieu ne nous a pas appelés à passer seulement par les vallées de douleurs, mais Il nous a destinés à grimper sur les sommets de montagnes, et à prendre l’envol comme l’aigle.
[1] « Mais ceux qui se confient en l’Éternel renouvellent leur force. Ils prennent le vol comme les aigles; ils courent, et ne se lassent point, ils marchent, et ne se fatiguent point.’’
Quels que soient les défis, les circonstances, les pleurs, les attaques que tu vis en ce moment, sache que le plan merveilleux de Dieu pour ta vie est en gestation. Crois seulement, et tu verras sa gloire[2].
Qui aurait pensé qu’un jour, j’ouvrirais mon cœur à des milliers de personnes éparpillées dans tous les coins du monde, lisant ce petit bout de ma vie ?
Ce jardin secret de nos vies enfoui au tréfonds de nos cœurs, que d’habitude nous ne montrons jamais à personne ; nous l’arrosons de nos larmes, nous le désherbons en silence sans que personne ne puisse jamais y prêter attention. Viennent vents et marrées, étés et hivers, nous sommes les seuls gardiens de ce jardin secret interdit au public. Mais me voilà en train de l’exposer au monde. Mon jardin n’a plus de secret. Jésus-Christ, le Lys des vallées, le narcisse de Saron, la plus belle fleur de mon cœur m’a accordé la permission de l’exposer au public. Ah Mon jardin ! Les dernières tempêtes ne lui ont rien enlevé de sa beauté. Au contraire, les plus belles fleurs y ont poussé. De la rose belle et mondialement réputée, à l’hydrangea rare, au bleu flamboyant rempli de sérénité.
[3]« …leur âme sera comme un jardin arrosé, et ils ne seront plus dans la souffrance ».
Une banquette a été placée dans ce jardin pour toi, cher visiteur. Trouves-y du repos autant que tu voudras, et n’oublie pas de parler au jardinier (Jésus-Christ), car il n’est jamais bien loin. Vous vous souvenez que lors de la résurrection de Jésus-Christ, Marie de Magdala avait cru que l’homme qui lui parlait devant cette tombe ouverte était le jardinier ? Mais lorsque ce dernier prononça son nom, elle reconnut que c’était le Maître, Jésus-Christ. Aujourd’hui encore, ce « jardinier » est là pour te parler, et Il t’appelle par ton nom.
Ai-je eu peur de déballer ma vie sur la place publique? J’ai même été littéralement paralysée de frayeur. Je me suis posée mille et une questions avant de me lancer.
Et si ? Et si ? Et si ? Et soudain, cette fragilité dans mon cœur s’est transformée en une combinaison de paix et de joie que seul Dieu, notre Père, pourrait justifier. Et si je devais me hasarder à expliquer, je pourrais sans doute dire que c’est pour toi qui lis ce livre que cette paix s’est manifestée, la joie de savoir que ton âme sera édifiée, que le tir sera rectifié, que la balle invisible du méchant sera déviée, que ce père qui a violé, brisé, blessé, emprisonné l’âme innocente renoncera au mal, que l’enfant à qui l’on a volé le rêve, l’innocence, la joie et l’espoir d’un avenir radieux ne pleurera plus, que la nation ou le gouvernement qui s’est rendu coupable de non-assistance à une jeunesse en danger ne regardera plus sans agir, que l’église, « l’épouse » à qui la promesse de l’époux « Jésus-Christ » a été donnée, disant qu’Il reviendra bientôt sera trouvée prête et irréprochable, que la famille « cellule de base de la société » sur qui repose la charge d’éduquer, de former et de fournir au monde les grands leaders de demain, hommes et femmes intègres, sera unifiée, bâtie sur les principes victorieux de la foi chrétienne.
Et tout cela parce que Jésus-Christ a dit en rendant l’âme sur la croix : « Tout est accompli ».
Ma main sur le cœur, j’écris non pour faire du mal, mais plutôt pour le réparer, tout en demeurant respectueuse du droit à la vie privée de chacun. Même si je fais allusion à des faits très personnels concernant certains membres de ma famille et d’autres personnes que j’ai croisées sur mon parcours, cela ne change pas le fait que cette vérité est dite avec amour.
L’article 18 de la déclaration universelle des droits de l’homme déclare que « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites ».
Mais l’article 19 dit aussi que « Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit »
Ce qui est valable pour moi l’est autant pour les autres. Aucune diffamation ne sera donc faite ici.
Je me suis engagée devant l’Éternel à ne dire que la vérité, rien que la vérité (même si toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire et dérangent), son Esprit me donnera la sagesse pour tout ce qui est nécessaire à dire et pour ce qui ne l’est pas.
Ma profession de foi est utile pour les générations futures, pour les oubliés d’aujourd’hui et de demain, afin que les chaînes soient brisées et que les langues soient déliées.
Je n’ai pas honte pour moi, mais j’ai honte pour ceux qui n’ont plus honte.
Je voudrais aussi préciser que j’ai écrit ce livre de façon prophétique, car à chaque étape où les faits se déroulaient dans ma vie, je les relatais en trempant les pages de mes larmes, car tout ce que je vivais était si dur, mais à la fin de ces lignes factuelles, l’Esprit de Dieu insérait une révélation sur le futur. J’étais donc à la fois dans mon passé, dans mon présent et dans mon futur. Ce qui explique pourquoi l'emploi du temps de certains verbes change brusquement d'un chapitre à l'autre ou d'un passage à un autre. Mon présent est devenu une réalité qui témoigne en faveur de ces lignes prophétiques. J’ai découvert que la peinture, la danse et les autres arts prophétiques existaient, mais j’ai personnellement expérimenté « l’écriture prophétique ». Je suis un scribe prophétique.
Certains écrivent leur biographie car ils maîtrisent l’évolution de leur histoire avec des accomplissements décrits comme preuves de leur réussite. Mais moi, j’ai écrit parce que Dieu m’a dit : « Commence ». J’avançais dans le manuscrit de ce livre, ne sachant toujours pas là où Dieu voulait m’emmener, mais j’écrivais, guidée par son Esprit. Enfin, lorsqu’il m’a dit : « Conclus », j’ai réalisé que comme un grand architecte, Dieu avait déjà achevé son œuvre en moi avant même que je n'aie commencé quoique ce soit et les preuves de cette œuvre se sont construites avec chaque ligne de mon écriture. Cela m’a pris 5 ans et quelques mois car j’ai commencé à écrire en juillet 2009 pour conclure en Décembre 2014.
Les circonstances géographiques dans lesquelles je me retrouvais au moment où j’écrivais les premières lignes de ce livre m’ont aussi motivée à ouvrir mon cœur.
Sur cette terre sud-africaine, des hommes et des femmes ont payé de leur vie pour réclamer la liberté, revendiquer leurs droits bafoués, le sacrifice ultime de l’âme révoltée.
Lorsque j’allume ma télévision, c’est « Mandela Day » qui est célébré. Nelson Mandela, ce patriarche inoubliable de la nation sud-africaine, qui a passé une grande partie de ses années sur terre derrière les barreaux, privé de liberté, qui s’est battu non pour recouvrer sa liberté individuelle, mais celle de la nation noire sud-africaine entière et avec elle les générations futures. C’est son geste qui est célébré, car l’homme n’est pas parfait comme nous tous d’ailleurs, et les tournures politiques négatives de l’après-Mandela en Afrique du Sud ne sont pas toutes à mettre sur son dos. Ce qui comptait, c’était cet acte grandiose de dépassement de soi au moment où il fallait un « héros » pour stopper l’injustice.
Quelle remarquable leçon d’humanisme ! [4]Ubuntu ! Le combat pour la liberté par le compromis de sa propre sérénité, une sagesse utile pour la postérité dans la pérennité.
Et que dire de tous ces autres grands leaders, hommes et femmes (morts et vivants) qui ont positivement marqué les temps, les cœurs et l’histoire ?
Ce sont des êtres humains comme toi et moi (pas spécialement des chrétiens). Ils ont saisi l’opportunité de se battre pour la vérité sans craindre l’adversité. Certains parmi eux se sont battus pour des causes humanitaires relatives à une nation, à un groupe de gens, à une minorité et d’autres encore pour des causes personnelles relatives à leur carrière, à leur statut social, à leur famille ou juste à leur rêve. Tous ont un dénominateur commun: c’est qu’ils n’ont pas eu peur de rêver et se sont levés pour un jour saluer l’accomplissement de leur rêve.
C’est une forme de « foi ». Les uns ont foi en eux-mêmes et en leurs capacités, les autres ont foi en Dieu seul capable de tout. Moi je me range du côté de ceux qui ont foi en Dieu seul et à qui Dieu révèle aussi qu’ils doivent croire en ce qu’Il a placé en eux. La Foi en Dieu nous donne de l’assurance et la force d’agir avec témérité.
Et quand je pense à ces héros de notre monde moderne, cela ramène aussi mes pensées à ceux d’hier, 2000 ans avant J.C. Des hommes et des femmes de foi (et la meilleure forme de foi). Ma bible les cite : Abel, Enoch, Noé, Abraham, Isaac, Jacob, Joseph, David, Daniel, Ruth, Esther, Anne, Elie, Elisée, Josué, Pierre, Paul,…et bien sûr, Jésus-Christ de Nazareth, le Héros des héros.
[5] « Et que dirai-je encore? Car le temps me manquerait pour parler de Gédéon, de Barak, de Samson, de Jephté, de David, de Samuel, et des prophètes, qui, par la foi, vainquirent des royaumes, exercèrent la justice, obtinrent des promesses, fermèrent la gueule des lions, éteignirent la puissance du feu, échappèrent au tranchant de l'épée, guérirent de leurs maladies, furent vaillants à la guerre, mirent en fuite des armées étrangères. Des femmes recouvrèrent leurs morts par la résurrection; d'autres furent livrés aux tourments, et n'acceptèrent point de délivrance, afin d'obtenir une meilleure résurrection; d'autres subirent les moqueries et le fouet, les chaînes et la prison; ils furent lapidés, sciés, torturés, ils moururent tués par l'épée, ils allèrent çà et là vêtus de peaux de brebis et de peaux de chèvres, dénués de tout, persécutés, maltraités, eux dont le monde n'était pas digne, errants dans les déserts et les montagnes, dans les cavernes et les antres de la terre. Tous ceux-là, à la foi desquels il a été rendu témoignage, n'ont pas obtenu ce qui leur était promis, Dieu ayant en vue quelque chose de meilleur pour nous, afin qu'ils ne parvinssent pas sans nous à la perfection ».

Ils n’ont pas vécu pour eux-mêmes, mais pour les autres, car le rêve accompli est contagieux.

Je raconte ma vie dans ce livre, un peu comme si je parlais à une amie avec tous les détails croustillants des conversations intimes, mais il arrivera à certains points que je parle comme une enseignante de la Parole, à cause des révélations que Dieu a déposées dans mon cœur, et des fois aussi comme une évangéliste, à cause de mon appel à emmener les âmes au salut. Il m’arrive également dans ce livre de parler par l’Esprit de la prophétie, car ce sont des choses que Dieu a téléchargées dans mon esprit, la dispensation faite aux Fils et aux Filles, confirmée par cette promesse faite par l’Eternel :

[6]« Mais c'est ici ce qui a été dit par le prophète Joël : dans les derniers jours, dit Dieu, je répandrai de mon Esprit sur toute chair; vos fils et vos filles prophétiseront, vos jeunes gens auront des visions, et vos vieillards auront des songes. Oui, sur mes serviteurs et sur mes servantes, dans ces jours-là, je répandrai de mon Esprit; et ils prophétiseront ».

Cependant mon langage reste très franc, direct et sans hypocrisie.


Ce livre contient des vérités bibliques basées sur des principes divins inaliénables, mais il est également très pragmatique. Si vous vous repliez sur le fait que l’on puisse mettre « Dieu » et « pragmatique » dans la même phrase, vous découvrirez le « comment » dans les lignes qui suivent.

Je crois en Jésus-Christ, je l’ai reçu dans ma vie comme Seigneur et Sauveur, je vis Ses miracles jour après jour, je baigne dans Sa puissance et je n’aurai jamais honte de proclamer Sa grandeur ni d’inviter ceux qui ne le connaissent pas encore à se rapprocher de Lui.

Il nous invite à lui faire confiance : [7]«Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger ».

Ses bras sont forts et solides pour nous porter, ses mains rassurantes pour nous y abandonner, j’en ai fait l’expérience.

Les circonstances relatées dans ce livre sont réelles. Aucune connotation politique, religieuse, ou ségrégative ne peut lui être attribuée. En gros, ce livre n’a d’autre étiquette valable que celle de la réalité divine profitable à quiconque.

Je l’ai écrit avec mon cœur et moins avec mon intelligence. C’est avec modestie que je me suis laissé conduire par l’Esprit de Dieu qui a défini chaque mouvement de ma plume. Mon art n’est pas parfait, mais mon dévouement l’est. Le besoin n’est pas d’impressionner mais de toucher un cœur, de sauver une vie.

Je me suis longtemps posé la question de savoir quelle était mon ambition réelle, mon réel talent, le don de Dieu en moi. Car chacun de nous a un ou plusieurs talents cachés qui n’attendent que d’être découverts, des dons qui attendent d’être révélés ou exploités.

Aujourd’hui, la réponse est évidente : je suis née avec une plume dans la main et une feuille vierge sur le cœur. Lorsque je tourne la page, une autre page vierge apparaît et ainsi de suite, je ne sais plus m’arrêter, il faut que je les remplisse toutes.

Comment se fait-il alors que pendant toute ma jeunesse j’ai cherché ce qui n’était pourtant pas loin ? Comment ai-je pu être si aveugle et ne pas reconnaître ce don de Dieu ? Un appel à déterrer les trésors cachés en moi et à les partager ?

Cela arrive même aux meilleurs d’entre nous. Beaucoup de personnes n’ont jamais su déterminer le vrai but de leur vie sur terre, ce à quoi ils ont été appelés pour briller dans ce monde, ce qui les rend complètement heureux et satisfaits. Ils vont jusqu’à faire des mauvais choix de carrière professionnelle, mauvais choix académique, mauvais choix d’époux (ou épouse), mauvais choix d’amis et cela finit par des conséquences fâcheuses, des chocs et des frustrations qui kidnappent toute leur joie.

« Connais-toi toi-même », répétait le célèbre philosophe grec Socrate. Durant mon passage à l’église chrétienne New Life Church  de Bryanston à Johannesburg, j’ai été émerveillée de découvrir qui j’étais, de découvrir les traits de caractère qui me correspondaient le plus. Je ne remercierai jamais assez le Pasteur Chris Stark, Pasteur Tobi, ainsi que toute la merveilleuse équipe de cette église pour l’expérience combien utile que j’ai eue dans cette merveilleuse église.

Pour ceux qui croient que l’église ne peut rien apporter d’autre que la prédication de l’évangile, cela est une fausse perception. Je suis heureuse de vous informer que l’église (la vraie, celle qui connaît sa mission et sa valeur) forme aussi l’individu.

L’église constitue le socle de référence pour l’épanouissement complet du chrétien. Tant sur le plan spirituel que moral, sur le plan académique, professionnel, conjugal et dans la gestion politico-économique de notre monde. Car la bible en elle-même n’est pas un livre d’histoires ennuyeux comme certains le présentent, mais plutôt un miroir où l’on se voit du dedans au dehors, un code de conduite que le Créateur a institué, car Il connaît mieux que personne ses créatures. Elle couvre toutes les situations, toutes les questions et préoccupations de la race humaine. Elle répond à tout.

[8] « Toutes choses sont en travail au-delà de ce qu'on peut dire; l'œil ne se rassasie pas de voir, et l'oreille ne se lasse pas d'entendre. Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. S'il est une chose dont on dise : Vois ceci, c'est nouveau ! Cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés. On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard. Moi, l'Ecclésiaste, j'ai été roi d'Israël à Jérusalem. J'ai appliqué mon cœur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux : c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme. J'ai vu tout ce qui se fait sous le soleil; Et voici, tout est vanité et poursuite du vent. ».





[1]  Esaïe 40:31 version LSG
[2] Extrait tiré de Jean 11: 40
[3]  Extrait tiré de Jérémie 31:12
[4]Ubuntu = Définition Wikipédia : mot d’origine bantoue originaire de l'Afrique du sud, une notion humaniste qui pourrait être traduite par « je suis ce que je suis grâce à ce que nous sommes tous » ; c’est une attitude de solidarité et d’ouverture aux autres.
[5]Hébreux 11 :32 - 40 version LSG
[6]Actes 2 :16-18 version LSG
[7]Matthieu 11 :28-30 version LSG
[8]Ecclésiaste 1 : 8 – 14 version LSG

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